Noisy ira à Bastia, Viry recevra Caen

Le tirage au sort des 16es de finale de la Coupe de France, effectué hier soir au stade Pierre Mauroy de Villeneuve-d’Ascq, était très attendu par les équipes franciliennes qui ont été les vedettes du tour précédent. 

Après Angers (L1), Viry (R1) se verra proposer le mardi 22 ou mercredi 23 janvier prochain Caen (L1), tombeur du Red Star (L2) au tour précédent. Il faudra un autre exploit pour passer. 

Après le Gazélec Ajaccio (L2), Noisy-le-Grand (R1) poursuivra ses duels avec les Corses en se rendant, cette fois, à Bastia pour y affronter le Sporting, leader du National 3. 

Enfin, nouveau gros morceau à domicile pour l’Entente Sannois-Saint-Gratien (N) qui, après Montpellier (L1), accueillera Nantes (L1). 

Le quadruple tenant du titre, le PSG, recevra le vainqueur de la rencontre opposant Grenoble (L2) à Strasbourg (L1).   


Le tirage au sort :

Viry (R1) – Caen (L1)
Bastia (N3) – Noisy-le-Grand (R1)
Entente Sannois-Saint-Gratien (N) – Nantes (L1)
PSG (L1) – Grenoble (L2) ou Strasbourg (L1)

Fleury accueille Metz, le PFC et le PSG à l’extérieur

Le tirage au sort des 8es de finale de la Coupe de France Féminine a été effectuée hier. Nos trois derniers représentants qui évoluent tous dans l’élite hexagonale auront toutes leur chance d’atteindre les quarts. 

A l’image de Fleury (D1) qui recevra Metz (D1) formation que les Essonniennes ont battu à deux reprises en championnat (0-2 ; 2-1). 

Pour le PFC, tombeur de Montpellier au tour précédent, il faudra être vigilant face à Saint-Malo (D2), deuxième de son groupe de D2. 

Enfin, le PSG (D1) se déplacera également sur la pelouse du Havre (D2), actuel 4e de sa poule de D2 et qui a battu Issy en 16es.  


Le tirage au sort :

Fleury (D1) – Metz (D1)
Saint-Malo (D2) – PFC (D1)
Le Havre (D2) – PSG (D1)

Ils l’ont fait !

Trois des cinq équipes franciliennes engagées ce week-end en 32es de finale de Coupe de France ont réalisé un authentique exploit. A commencer par nos Petits Poucets régionaux, Viry (R1) et Noisy-le-Grand (R1). 

Viry qui a décroché son ticket pour les 16es de finales en éliminant le SCO d’Angers, pensionnaire de Ligue 1. Soit cinq divisions d’écart pour ce qui constitue l’une des plus belles performances dans l’histoire de cette compétition. En effet la dernière équipe à avoir réussi un tel résultat était Mende en 2013. Alors en DHR, le club de Lozère avait fait chuter Arles-Avignon, club de Ligue 2. Schirrhein l’avait déjà fait en 2009. Alors en Excellence, le club alsacien avait sorti Clermont, club de Ligue 2. Il faut remonter aux années 1980 pour trouver traces de tels exploits. En 1986, une autre formation francilienne, Evry, alors en 6e division, avait dominé le Toulon (D1) d’Olmeta, Onnis et Casoni (1-0). 

Et puisque l’on est dans l’histoire, Viry avait déjà joué un 16e de finale de la Coupe de France en 1978 contre le Gazélec Ajaccio. On se souvient également qu’en 2005 et 2008, les Essonniens avaient été éliminés en 32es de finale face à Lyon (0-2) et Bastia (2-5). Et c’est paradoxalement lorsque Viry retombe au niveau régional, après sa double relégation de la saison dernière, qu’il parvient cette fois à passer le cap d’Angers grâce d’abord à une résistance de tous les instants et à la multiplication des arrêts et des exploits de leur gardien de but, Vincent Da Silva, qui repoussera les tentatives de Santamaria (10e), Bahoken (20e, 34e) et Mangani (27e) avant, en seconde période, de trouver l’ouverture sur un cafouillage conclu par Mahamadou Sacko (51e). Le milieu de terrain Virois qui n’aurait pas été titulaire comme le confirme son coach, Walid Aïchour, si Samba Dembélé n’avait pas été expulsé lors du dernier match de championnat. 

L’intéressé peut savourer ce petit pied de nez. « J’ai mis les bouchées doubles pour disputer cette rencontre. On s’est donnés à fond pendant les entraînements et, moi, j’ai fait très attention à la nourriture pendant les fêtes. Je me suis dit que c’était peut-être la première et la dernière fois que je pouvais affronter une formation de Ligue 1 dans ma vie. Je ne voulais pas rater cette occasion de jouer contre des joueurs que je vois à la télé. On a enfin un peu de bonheur après des mois difficiles. Une fois de plus, on a montré que tout est vraiment possible dans le foot quand on se donne les moyens.« 

Et Noisy-le-Grand, autre Petit Poucet francilien, l’a démontré également de la plus belle des façons en dominant (2-1) le Gazélec Ajaccio, club de Ligue 2. Pour la première participation de son histoire à un 32e de finale de la Coupe de France, la formation du Président Kalkan a démontré qu’elle pouvait ambitionner jouer à un niveau supérieur. Leader de leur poule de R1, les Noiséens ont pris à la gorge leur adversaire en ouvrant le score dès la 4e minute après un but contre son camp de N’Doye. Un avantage de courte durée puisque Blayac (16e) égalisait de la tête à la suite d’un corner. Mais après que les Corses se soient retrouvés à 10 après l’expulsion de Ba, Issaad (43e) redonnait un avantage définitif à Noisy sur coup-franc avant que le portier Pierre Petit-Homme ne fasse le travail en seconde période pour préserver cet avantage. 

Après 7 minutes interminables d’arrêts de jeu, les joueurs de Noisy-le-Grand pouvaient laisser exploser leur joie à l’image de leur capitaine, Madimoussa Coulibaly : « Nous ressentons une grande fierté après cet exploit. Après le tirage nous pensions nos chances très réduites face à une Ligue 2. Puis au fur et à mesure que l’on se préparaient avec le discours du staff, nous avons pris confiance en nous. Les résultats de la veille de Viry et de l’Entente nous ont également boostés. On s’est dit si eux l’avaient fait pourquoi pas nous. Nous nous sommes concentrés sur notre jeu exclusivement, nous n’avons pas étudié notre adversaire car nous savions que si techniquement, tactiquement et physiquement, Ajaccio était au-dessus, notre mental pourrait faire la différence. Nous savions l’importance de bien commencer, de ne pas encaisser de but dans le premier quart d’heure. Nous avons fait mieux en marquant en tout début de match. Maintenant pour le prochain tour nous espérons encore un plus gros morceau. Une Ligue 1 comme Lyon ou Monaco. Le PSG, ce serait extraordinaire, mais je préférerais un club qui ne soit pas francilien. » 

Même s’il n’y avait dans ce match que deux divisions d’écart, la qualification de l’Entente Sannois-Saint-Gratien, à la lutte pour son maintien dans son championnat National, face à Montpellier, troisième de Ligue 1, relève également de l’exploit. Et le scénario du match participait à cette incroyable soirée puisque c’est dans les arrêts de jeu que Géran (93e) marquera le seul but de la rencontre. Avec à la clé une joie contenue pour l’entraîneur Vincent Bordot : « C’est une bouffée d’oxygène. Les joueurs ont mérité de s’offrir ce petit bonheur. Ces moments sont appréciables, mais ils n’effacent pas ce qu’on vit au quotidien.« 

Il n’y aura pas trois mais bien quatre équipes franciliennes présentes au tirage au sort des 16es de finale qui se déroulera aujourd’hui puisque le quadruple tenant du titre, le PSG, n’a pas forcé son talent pour s’imposer (0-4) sur la pelouse de Pontivy (N3). Seul le Red Star (L2), malgré une très belle résistance, est resté à quai en s’inclinant (0-1) face à Caen. 


Feuilles de Match

Viry (R1) – Angers (LIGUE 1) : 1-0 (0-0).
Spectateurs : 1500.
Arbitre : M. Letexier.

But : Viry : Sacko (50e).

Viry : Da Silva – Smeralda, Ngoyi, Marcilla (cap.), Sankouna – Djoko, Keita (Yahya, 87e), Sacko (Saint-Peron (90e + 5), Karagiannis, Bensaidi – Mbimbé (Kiemba, 74e). Entr. : Aïchour.

Angers : Butelle – Manceau, Pavlovic (I. Traoré, 57e), Thomas, Capelle – Santamaria, Ndoye (cap.), Mangani (Kanga, 60e), Fulgini, Reine Adelaide (Manzala, 81e) – Bahoken. Entr. : Moulin.

Entente Sannois-Saint-Gratien (N) – Montpellier (Ligue 1) : 1-0 (0-0).
Spectateurs : 4 000.
Arbitre : M. Buquet.

But : Géran (93e). 

Entente : Raphose – Doremus, Labor, Pires, Ba, Latouchent – Dieye (cap.), Souici (Irie Bie, 75e), Dia – Talal, Géran. Entr. : Bordot.

 

 

Noisy-le-Grand (R1) – Gazelec Ajaccio (L 2) : 2-1 (2-1).
Spectateurs : 3 500.
Arbitre : M. Mokhtari.

Buts. Noisy-le-Grand : Ndoye (4e c.s.c.), Issaad (43e) ; Gazélec : Blayac (17e).

Noisy-le-Grand : Petit-Homme – I. Coulibaly, Lobé, Diallo, Sakaya – Sylla, Salep (Yao, 78e), M. Coulibaly (cap.) (Ribeiro, 54e), Sahi – Dali (Moupatam, 82e), Issaad. Entr. : Sidibé.

Gazélec Ajaccio : Oberhauser – Campanini, Ba, Perquis, Camara – Pierazzi (cap.), Roye, N’Doye, Gomis, Jobello – Blayac (Kokos, 46e). Entr. : Della Maggiore.

 

Le PFC se qualifie à Montpellier, Vaux-le-Pénil La Rochette et Issy à la trappe

Trois formations franciliennes participeront aux 8es de finale de la Coupe de France. Et il s’agit de nos trois représentants dans l’élite. Sans surprise le PSG s’est baladé (8-0) dans son 16e de finale face à Rennes CPBB. Fleury s’est également imposé logiquement (0-4) sur la pelouse de Rouen (R1). 

Belle performance du PFC qui est allé chercher sa qualification (0-1) à Montpellier dans ce qui constituait le match au sommet de ces 16es de finale. 

En revanche, Issy (D2) a été surpris à domicile (0-2) par le Havre. 

Notre Petit Poucet, leader de R1, Vaux-le-Pénil La Rochette, n’a rien pu faire (0-5) contre la Roche-sur-Yon.  


Les résultats :

Montpellier (D1) – PFC (D1) : 0-1
Issy (D2) – Le Havre (D2) : 0-2
PSG (D1) – Rennes CPBB (D2) : 8-0
Rouen (R1) – Fleury (D1) : 0-4
Vaux-le-Pénil La Rochette (R1) – La Roche-sur-Yon (D2) : 0-5 

Vaux-le-Pénil La Rochette veut aussi flamber en Coupe de France

Dernière équipe de nos championnats régionaux encore qualifiée, Vaux-le-Pénil La Rochette, leader de la Régional 1, aura fort à faire pour décrocher, ce dimanche, son ticket pour les 8es de finale de la Coupe de France. Les Franciliennes recevront la formation de la Roche-sur-Yon, vieille habituée des joutes hexagonales et actuellement troisième du groupe A de D2 féminines. Il faudra donc une grosse performance pour les Seine-et-Marnais pour espérer passer.

Ce sera également le cas pour le PFC (D1) qui se déplacera à Montpellier (D1) pour ce qui constitue le choc de ces 16es de finale de Coupe de France. En championnat de D1, les Héraultaises, quatrièmes, devance les Parisiennes, sixièmes, de trois points. Les deux équipes se sont déjà affrontées. C’était au début du mois de novembre et le PFC s’était incliné (2-0) sur la pelouse de Montpellier. 

Autre duel entre formations évoluant dans la même division, Issy (D2) accueillera Le Havre (D2). Là aussi les deux équipes se sont déjà rencontrées une fois en championnat et elles s’étaient quittées sur le score de parité de 1-1. Si les Isséennes ont l’avantage de recevoir, les Normandes, solides quatrièmes de leur poule, devance les Franciliennes de quatre points. 

La tâche semble plus abordable pour Fleury (D1) qui se rendra sur la pelouse de Rouen (R1). Sauf énorme surprise, le PSG (D1) devrait se qualifier aux dépens de Rennes CPBY dernier, avec un seul petit point, du groupe A de D2.   


Agenda :

Dimanche 6 janvier à 14h30 :
Montpellier (D1) – PFC (D1)
Issy (D2) – Le Havre (D2)
PSG (D1) – Rennes CPBB (D2)
Rouen (R1) – Fleury (D1)
Vaux-le-Pénil La Rochette (R1) – La Roche-sur-Yon (D2)

Le bon coup à jouer du CA Paris

A la faveur des trois matches en retard de R1, qui se disputeront ce samedi, le CA Paris aura un superbe coup à jouer. En cas de victoire sur le PFC, les Parisiennes occuperaient la deuxième place à égalité de points avec le PUC qui ne jouera pas. 

Dans la première partie du classement également, le Val-d’Europe accueillera Fleury. Si les Seine-et-Marnaises veulent revenir pleinement dans la course aux barrages, elles doivent battre Fleury ce qui leur permettrait de revenir à un point de son adversaire du jour avec un match de plus à disputer. 

La dernière rencontre programmée mettra aux prises l’ES 16e au promu du Cosmo Taverny. Deux points seulement séparent ces deux équipes à la faveur des Parisiennes.   


Agenda :

Samedi 05 janvier à 15h30 :
Val-d’Europe – Fleury

Samedi 06 janvier à 17h30 :
ES 16e – Cosmo Taverny
CA Paris – PFC 

F.M.I. : Expiration des mots de passe le 31/12/2018

Les mots de passe Footclubs des utilisateurs ayant des accès F.M.I. sont arrivés automatiquement à expiration le 31 décembre 2018 au soir.

Les utilisateurs des F.M.I. sont donc invités à modifier leur mot de passe à partir du 1er JANVIER 2019.

 2 possibilités pour changer son mot de passe :

En utilisant la rubrique « Mot de passe expiré ou oublié »

En utilisant la fonctionnalité « Mot de passe oublié » sur la fenêtre de connexion avant de vous connecter.

Le changement de mot de passe ne peut pas se faire dans l’application FMI (ni sur la tablette ni sur Internet).

 Cette procédure sera réitérée début JUILLET 2019.

Nous vous remercions de bien vouloir communiquer cette information à vos utilisateurs.

 

Exploits demandés

Quatre montagnes attendent, ce samedi 6 et dimanche 7 janvier, les quatre formations franciliennes qui se sont qualifiées pour les 32es de finale de la Coupe de France. 

A commencer pour l’un de nos deux Petits Poucets, Viry (R1), qui accueillera Angers (L1). Peut-être plus réalisable même si ce sera aussi très compliqué l’exploit de Noisy-le-Grand (R1) face au Gazélec Ajaccio (L2). 

Pour l’Entente SSG, même à domicile, le morceau sera dur à avaler en la personne de Montpellier, troisième du championnat de Ligue 1. 

Le Red Star (L2), à domicile, peut créer la surprise face à une formation de Caen (L1) toute tournée vers son maintien même si c’est le cas également des Audoniens. 

Enfin, l’entrée en matière sera douce pour le quadruple tenant du titre, le PSG, qui se déplacera sur la pelouse de Pontivy (N3).  


Agenda :

Samedi 5 janvier à 13h :
Viry (R1) – Angers (L1)

Samedi 5 janvier à 15h :
Entente SSG (N) – Montpellier (L1)

Samedi 5 janvier à 18h :
Red Star (L2) – Caen (L1)

Dimanche 6 janvier à 17h15 :
Noisy-le-Grand (R1) – Gazelec Ajaccio (L2)

Dimanche 6 janvier à 20h45 :
Pontivy (N3) – PSG (L1)

Un feuilleton à suspense !

La trêve de Noël constitue toujours un moment propice à tirer les premiers bilans d’une saison qui a débuté il y a quatre mois. Un chiffre résume parfaitement l’âpreté de ce championnat où, et c’est parfois un lieu commun de le dire, tout le monde peut battre tout le monde. Sept. Sept point seulement, c’est l’écart qui existe entre le deuxième de ce National 3, les Gobelins, et le douzième, le Mée. Une différence qui traduit parfaitement le resserrement d’une hiérarchie qui a souvent varié tout au long des journées.

Ainsi en tête du classement, le début de saison tonitruant du Racing a laissé entrevoir un possible cavalier seul. Oui mais voilà, les Colombiens, qui viennent de se séparer de leur entraîneur Abdel Mourine, n’ont remporté aucun de leurs six dernières rencontres (trois nuls et trois défaites). Pourtant aucune autre équipe ne semblait en mesure de réellement en profiter. Ni Versailles, à la lutte au départ, qui vient d’enchaîner trois défaites consécutives qui font glisser le club des Yvelines à la onzième place à égalité avec le douzième. Ni Créteil qui avait pourtant réalisé au cœur du mois d’octobre une belle série de quatre succès consécutifs qui l’avaient propulsé en haut de classement. Les Cristoliens sont revenus au gré de trois défaites de rang à une inquiétante avant dernière place avec toutefois un match en plus à disputer.

Noisy-le-Sec n’a jamais été non plus très loin du podium et même dessus à plusieurs reprises. Mais les joueurs de Nasser Sandjak ont vu leur dynamique cassée et pointent désormais à la neuvième place avec un match en plus également à jouer.

Finalement, une formation a réellement pu retirer les marrons du feu. Aubervilliers occupe aujourd’hui la place de leader avec une petite marge de trois points sur son dauphin. Les joueurs de Seine-Saint-Denis se sont montrés les plus réguliers même s’ils se sont inclinés déjà à quatre reprises. Mais en contrepartie ils l’ont emporté huit fois et présentent cette particularité de ne jamais avoir fait de match nul. A Aubervilliers on gagne ou on perd. On gagne le plus souvent à l’image de ses cinq derniers matches où Aubervilliers s’est imposé à quatre reprises.

Derrière Aubervilliers, on retrouve aujourd’hui une formation des Gobelins qui n’a jamais été très loin. Mais à la faveur d’une dernière série de trois victoires et d’un nul, les parisiens remontent à la deuxième place. Juste devant le Paris FC qui a souvent alterné le meilleur mais aussi le moins bon. Les Parisiens n’ont ainsi été en mesure qu’à une seule reprise d’enchaîner deux succès consécutifs. L’inconstance a aussi été le problème à un moment donné d’Ivry qui a cependant nettement accéléré ces dernières semaines en alignant un beau bilan de quatre succès pour une seule défaite lors de ses quatre dernières rencontres. Avec un match en retard, Ivry reste placé.

Symbole également de ce championnat qui se renverse rapidement, la situation du Blanc-Mesnil et surtout des Mureaux. Un temps relégable les Yvelinois sont remontés à la huitième  place après trois succès de suite. Le Blanc-Mesnil a retrouvé également des couleurs à la faveur d’un mois de novembre ou seul Aubervilliers est parvenu à le battre. La formation des Ulis, en nette perte de vitesse avec un bilan de trois défaites et de trois nuls lors de ses six derniers matches, aura aussi la possibilité de se reprendre et de retrouver vite un meilleur classement à l’instar des Mureaux et du Blanc-Mesnil.

S’agissant des promus, leur trajectoire est assez disparate. Et c’est Brétigny qui, pour le moment, s’en sort le mieux en se plaçant à une belle cinquième place à la trêve. Avec toutefois seulement trois points d’avance sur un autre promu, douzième, le Mée. Les deux équipes ont connu des parcours assez identiques jusqu’à ce que les joueurs de Didier Brillant ne s’imposent dans trois de leurs quatre dernières rencontres. C’est plus compliqué pour Meaux, dernier, lâché, mais qui compte aussi sur deux matches en plus à disputer pour maintenir l’espoir. Ces quatorze équipes se donneront désormais rendez-vous le 13 janvier prochain pour le suite de ce feuilleton à suspense.


Classement du National 3 : 

  1. Aubervilliers (24 pts)
  2. Gobelins (21 pts)
    3. Paris FC (20 pts)
    4. Racing (19 pts)
    5. Brétigny (17 pts)
    6. Ivry (17 pts -1m)
    7. Blanc-Mesnil (16 pts -1m)
    8. Les Mureaux (16 pts)
    9. Noisy-le-Sec (15 pts -1m)
    10. Ulis (15 pts)
    11. Versailles (14 pts)
    12. Le Mée (14 pts)
    13. Créteil Lusitanos (13 pts -1m)
    14. Meaux (5 pts)

 

             

 

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