Les Paris World Games investissent la capitale

Paris, capitale du sport. La ville lumière sera cet été une nouvelle fois au coeur de l’événement sportif avec l’organisation du 7 au 13 juillet de la première édition des Paris World Games qui succèdent à la Paris World Cup qui a accueilli en 2015 et 2016 des centaines d’équipes de football venues du monde entier et des milliers de jeunes filles et jeunes garçons passionné(e)s de ballon rond. C’est dans ce même esprit, mais en y associant cinq sports supplémentaires, le badminton, le rugby à 7, le volley-ball, le handball et le basket-ball, suivant ainsi la dynamique de la candidature de Paris aux Jeux Olympiques de 2024, que se déroulera cette nouvelle compétition.

Avec comme valeurs chevillées au corps l’universalité, l’humanisme et l’olympisme. Les Paris World Games seront ainsi ouverts aux filles, comme aux garçons, en situation de handicap ou non, quelque soit leurs origines ou leurs niveaux de pratique. Avec pour objectif de contribuer à l’amitié des peuples grâce au sport, language universel, qui permet partout de nouer le dialogue gage de tolérance et de respect.

Mais les Paris World Games c’est aussi et surtout une compétition avec la notion de dépassement de soi omniprésente et au bout la recherche de la victoire qui viendra récompenser les meilleurs dans chaque catégorie. Quel plus écrin pour accueillir ce type d’événement que la ville de Paris symbole d’ouverture, d’universalité et de beauté. Les participants auront tout au long de cette semaine le loisir de découvrir les trésors de Paris et de la culture française. Ils seront également sensibilisé à l’utilisation des transports en commun et au recyclage pour contribuer au développement durable. Des actions seront enfin menées sur des sujets tels que la santé, l’arbitrage ou la vie en collectivité.

Un corpus évidemment validé par la Ligue de Paris Ile-de-France qui a décidé cette année encore, par l’intermédiaire de son Président, Jamel Sandjak, de s’associer à l’événement prenant une place naturelle auprès de ses clubs franciliens (ils seront plus de 60 à s’engager) qui participeront activement à la compétition. La Ligue interviendra notamment à travers le contrôle par des commissaires de la CRPME du Dispositif Global de Prévention adapté à l’ensemble des rencontres.    

« Paris est une fête » écrivait Ernest Hemingway dans son roman autobiographique. Et elle sera encore plus belle « ensemble » ont ajouté les organisateurs des Paris World Games pour le slogan de la compétition. Car c’est, en effet, en partageant ces moments, autour du sport ou ailleurs, que la vie prend tout son sens et son essence.    


Les Paris World Games en chiffres :

13 catégories. 
Foot à 11 :​
Féminines U16, U19 et adultes
Garçons U13, U14, U15, U16, U17.
Foot à 8 :
Féminines U11, U13
Garçons U10, U11, U12

20 stades. 
Complexe sportif Max Roussie, complexe sportif Léon Biancotto, centre sportif de la Porte d’Asnières, centre sportif Paul Faber, terrain de sport Jean-Pierre Wimille, centre sportif Suchet, pelouse d’Auteuil, centre sportif Suzanne Lenglen, centre sportif de la Plaine, centre sportif Charles Rigoulot, centre sportif Jules Noël, centre sportif Didot, Stade Charléty. 

8 dates. 
Vendredi 7 juillet : Arrivée et enregistrement des équipes.
Samedi 8 juillet : Premiers matchs de poule et cérémonie d’ouverture.
Dimanche 9 juillet : Suite des matchs de poule et soirée des coachs.
Lundi 10 juillet : Fin des matchs de poule et début des phases éliminatoires.
Mardi 11 juillet : Phases éliminatoires.
Mercredi 12 juillet : Fin de la phase éliminatoire et finales foot à 8.
Jeudi 13 juillet : Finales foot à 11.   

Issy retrouve la D2

Issy retrouvera la saison prochaine la D2 Féminines grâce à un match retour du deuxième tour de barrage d’accession parfaitement maitrisé. Battues pourtant 2-0 à l’aller par Clermont, 10ème du championnat de D2, les Chouettes ont totalement renversées la situation en s’imposant très largement (6-1). Ainsi, un an seulement après l’avoir quitté Issy rejouera en D2.  

Des sélections franciliennes exemplaires aux Espoirs du Foot

Les jeunes franciliennes et franciliens étaient attendus à Grandvillars et à Lievin pour prendre part aux Espoirs du Foot le week-end dernier. Au-delà de leurs performances très réussies sur les terrains, les différentes sélections se sont montrées irréprochables dans l’investissement et le comportement tout au long des trois jours. Sous la direction de l’encadrement technique de la Ligue, aux côtés d’autres joueuses et joueurs venus des quatre coins de la France pour différents tests, ces jeunes éléments ont fait honneur aux couleurs franciliennes afin de décrocher, peut-être, leur place pour le futur stage national en octobre prochain. De bon augure pour cette jeune génération qui poursuit sa progression…

Techniciens présents à Lievin : Céline Lapertot (cadre technique), Malik Boulegroune (cadre technique) et David Gauduel (Educateur Antony)

Techniciens présents à Grandvillars : Romuald Hamon (cadre technique), Nicolas Thierry (cadre technique) et Jordy Cabarrecq (Educateur Versailles)

Conclusion parfaite pour Skill face aux Cheminots

Cette finale opposait les deux champions de Division d’Honneur Régional, Cheminots et Skill, promis au plus haut échelon régional la saison prochaine. Dans ce choc du foot-entreprise francilien, pour la troisième édition, c’est finalement la formation dirigée par Christophe Gébri qui s’est imposée au stade Georges Carpentier au terme d’une opposition de haut niveau. Lauréat du Championnat dans le groupe A et auteur d’un parcours héroïque en Coupe Nationale jusqu’en demi-finales, Skill termine donc sa saison sur une excellente note. Un second sacre après le succès de la réserve de l’équipe des Yvelines en Coupe Mathieu deux jours auparavant.

Sous sa nouvelle appellation, Skill, anciennement BNP, retrouvera à la rentrée la Division d’Honneur tout comme les Cheminots, club de retour de l’élite après plusieurs années en DHR. Avec de belles ambitions au regard de cette finale très réussie, symbole de la qualité proposée par le Foot-Entreprise en Île-de-France.

Le résultat de la finale de Foot-Entreprise Division d’Honneur Régionale ce lundi 19 juin :

Skill & Service / Cheminots : 4-2

Les résultats des finales de Coupes de Paris à Draveil

Retrouvez l’ensemble des résultats des finales de Coupes de Paris IDF Foot-Entreprise, Outre-Mer, Anciens et CDM qui ont eu lieu dans d’excellentes conditions ce week-end au stade Alain Fournier à Draveil. Malgré une belle résistance, Expograph Vanves et le PWC ont été notamment déchus de leur titre alors que Kreopot a réalisé un véritable festival offensif.

Coupe Valentine
Metro 93 / Finances 15 : 1-3

Challenge NMPP
PWC / IBM Paris : 2-3

Coupe Saintot
Kreopot / US Ormesson : 5-0

Coupe Mathieu
Skill & Services (B) / Peugeot Poissy : 2-1 (ap.)

Coupe Mouminoux
AS Ultra-Marine / Grande Vigie : 4-2 (ap.)

Challenge Jean Restlé
Expograph Vanves / New Team Vincennes : 1-2 (ap.)

Coupe Dimanche Matin
CS Acheres / PSG : 1-1 (1 tab. à 3)

Coupe Anciens
CSM Bonneuil / FC Wissous : 1-2

Accès parachève son triomphe

Vainqueur la semaine passée de la Coupe Nationale Futsal, la formation d’Accès a validé, samedi, sa montée en D2 en s’imposant facilement (9-2) à domicile face à Avion. Les joueurs de Villeneuve-la-Garenne achèvent donc en beauté cette longue saison où ils ont  tout emmené sur leur passage. 

Garges Djibson entre dans l’histoire

Pour la première fois de son histoire, Garges Djibson a inscrit son nom au palmarès du Championnat de France. L’équipe du Val d’Oise, en tête à l’issue de la saison régulière, a remporté logiquement la finale aux dépens du KB United, pourtant double tenant du titre.

Auteur d’un meilleur départ avec un doublé de Souheil Mouhoudine, Garges a ensuite géré son avance tout au long de cette rencontre plaisante et de grande qualité dans une ambiance chaleureuse à Saint-Brieuc (Cotes-d’Armor). Porté par trois autres réalisations de la part de Landry N’Gala au cours d’une course-poursuite haletante, le collectif gargeois a finalement emporté la décision dans les ultimes instants en dépit d’une tentative désespéree de retour du KB United, emmené par Chimel Vita. 

Le résultat de la finale du Championnat de France de D1 Futsal :

Garges Djibson / KB United : 5-4

La Claye du succès

L’affiche était inédite. Pour la première fois deux équipes de Promotion d’Honneur se retrouvaient en finale de la Coupe de Paris Ile-de-France. Autres similitudes entre les deux équipes, outre leur niveau hiérarchique, une saison déjà couronnée de succès avec pour chacune une première place synonyme d’accession en DHR. Les deux adversaires ayant également épinglé des cadors de la Division d’Honneur pour en arriver à ce stade de la compétition, les Mureaux pour Claye-Souilly et Montreuil pour l’US Alfortville, la confrontation promettait donc d’être équilibrée.    

Et elle le fut. A tel point que par moment les deux formations semblaient s’annihiler. Dans des styles différents cependant. L’expérience et la maîtrise technique des Boudjema et autre Moukouri pour Claye. La fougue et l’envie d’aller de l’avant pour l’US Alfortville. Cette volonté de faire le jeu qui, paradoxalement, coûtera peut-être le match aux hommes d’Olivier Debert. « Nous n’avons pas été récompensés de nos efforts » soulignait à l’issue de la rencontre l’entraîneur. « Nous méritions vraiment mieux. Nous avons fait l’essentiel du jeu et Claye nous a punis sur notre point faible, l’exposition aux contres. C’est comme ça c’est le football.« 

C’est sur l’un d’eux, mené côté gauche par Sinoussi, que Claye-Souilly inscrira l’unique but de la rencontre (34e) par Zogbo à la réception du centre en retrait. Pourtant dominé en début de match les Seine-et–Marnais ont planté leur banderille et ont ensuite géré le résultat. Car toute la deuxième période sera à l’avantage de l’US Alfortville même si Claye-Souilly se procurera les meilleures occasions en contre. Bien emmenés par l’excellent Sami Baaboura, les Val-de-Marnais ne parviendront toutefois pas à trouver l’ouverture.  

Claye, à défaut d’être génial, s’est montré solide à l’image de son capitaine et défenseur central Djamel Boudjema. « Nous avions deux équipes qui avaient sensiblement le même niveau. » admettra l’ancien de la JA Drancy. « Il y avait donc une crainte mutuelle et c’est peut-être pour cela que le jeu n’était pas forcément au rendez-vous. Mais nous sommes tellement satisfaits du résultat. Je suis fier de gagner cette Coupe de Paris IDF qui est d’un niveau très relevé. C’est la cerise sur le gâteau. Notre objectif initial était la montée. Nous avons réalisé une super saison avec un beau parcours en Coupe de France également. Tout ceci est le fruit d’un travaill collectif.« 

La cohésion que mettait également en avant l’autre grand ancien de cette équipe, Cédric Moukouri. L’ex-strabourgeois qui, malgré son expérience du très haut niveau, ne boudait pas son plaisir à la fin du match. « Je n’avais pas cette Coupe de Paris IDF dans mon palmarès. Je suis vraiment très heureux. A 37 ans j’ai toujours cette envie de jouer et de gagner. Nous sommes tombés face à une belle opposition. Alfortville nous a fait mal notamment au milieu de terrain. Nous n’avons pas été excellents mais à défaut nous avons réussi à rester solidaires. Et cela démontre bien notre état d’esprit. Nous prenons tous le même plaisir sur le terrain avec des anciens, mais également un bon mixte avec des jeunes. Ce n’est que du plaisir. » 

Partagé évidemment par le chef d’orchestre de cette formation, l’entraîneur Patrick Latraye qui, pour sa première saison à la tête de cette équipe, réalise un magnifique doublé. « C’est une saison fantastique. Je suis tellement fier de l’état d’esprit de ce groupe. C’était une belle finale par son engagement, pas par le jeu. Nous l’avons emporté à l’expérience face à une très belle équipe et à un coach à qui je porte beaucoup de considération. » Des mots qui formalisent cette belle ambiance qui a régné, malgré l’enjeu, sur et en dehors du terrain. l’US Alfortville pourra se consoler avec la montée en DHR où il retrouvera peut-être Claye-Souilly pour une revanche.  

Fiche technique

Claye-Souilly (PH) – US Alfortville (PH) : 1-0 (1-0)

Arbitres : M. Rabia assisté de MM. Marmion et Sallay.
Déléguée : Isabelle Ruiz.  
But : Zogbo (34e). 

Claye-Souilly :
Souma – Jaworski, Correia, Kouo Doumbé, Boudjema – Naudin, Elkhourss puis Belhadi (60e), Ikoko puis Benchilla (68e) – Zogbo puis Bettahar (85e), Moukouri, Sinoussi. 
Entraîneur : Patrick Latraye. 

US Alfortville :
Dembélé – JT Louis-Charles, Lakhal puis JR Louis-Charles (68e), Doumbia, Déom – Colacicco, Toukoum, Geran puis Elisée (64e) – Diakité, Remili puis Mutombo (85e), Baaboura.
Entraîneur : Olivier Debert. 

Trop fort pour la VGA St-Maur, Val d’Orge conserve sa couronne

Conclusion en apothéose pour Val d’Orge qui a conservé son titre, ce samedi à Saint-Brice, en Coupe de Paris Seniors aux dépens de la VGA Saint-Maur (4-1) grâce notamment à un doublé de Celine Chatelain. Promise à la première division la saison prochaine, l’équipe de l’Essonne a maîtrisé son sujet, malgré quelques moments d’égarement, pour réaliser un doublé historique. Son adversaire, bien lancé en début de match, n’a ensuite rien pu faire pour contrecarrer les plans ambitieux du collectif emmené par Nicolas Carric.

« C’est juste incroyable ! Après le titre, on a su se remobiliser et cette Coupe de Paris est la cerise sur le gâteau. » Sous le coup de l’émotion et de la joie, l’entraîneur du Val d’Orge peine presque à trouver ses mots pour décrire la performance réalisée par ses joueuses. Il faut dire que ce groupe talentueux, à l’heure de l’ultime rendez-vous de l’année, vient de vivre une saison exceptionnelle et surtout historique. Un titre en Championnat et une montée inédite en première division, désormais accompagnés d’un nouveau sacre en Coupe de Paris pour la seconde fois consécutive. Pour garder le trophée dans les rangs essonniens, Val d’Orge a fait preuve de sérieux et de rigueur afin d’éviter une déconvenue contre la VGA Saint-Maur, équipe redoutable mais amoindrie à l’aube de cet événement.

Sur le terrain d’Honneur du stade Léon Graffin à Saint-Brice, ce sont deux places fortes du football féminin francilien qui se retrouvent pour désigner, sous le soleil du Val-d’Oise, le futur lauréat de la Coupe de Paris. Deux groupes de qualité où les amitiés ne manquent guère de s’immiscer dans le protocole d’avant-match entre d’anciennes coéquipières. Les sourires sont de rigueur avant d’entrer de plein pied dans la compétition pour un duel très attendu. En position de favori au regard de sa saison, Val d’Orge entend mettre d’entrée de jeu la pression sur les épaules de la VGA St-Maur. La formation de Djoued Mansouri n’a sans doute pas les moyens, notamment sur le plan physique, de mener les débats tout au long de la partie.

Pourtant, le club du Val-de-Marne démarre avec de belles intentions cette finale lancée sur un bon rythme. Sous l’impulsion de Kenza Abidi, dépositaire du jeu, la VGA se procure quelques opportunités sans parvenir à cadrer ses tentatives. Mais progressivement, avant la demi-heure de jeu, elle baisse de régime pour laisser le champ libre au Val d’Orge, mieux organisé et plus incisif à chaque duel. Après plusieurs hésitations, le tenant du titre se libère pour lancer pleinement les hostilités. Coup sur coup, Celine Chatelain hérite de deux ballons en profondeur. A chaque fois, l’avant-centre gère parfaitement son face-à-face avec la gardienne adverse, du crochet pour pousser le ballon dans le but vide (1-0, 38e) à cette frappe imparable aux vingt mètres (2-0, 43e). Juste avant la pause, la VGA St-Maur accuse le coup tandis que Val d’Orge semble avoir fait le plus dur.

« Nous sommes bien rentrés dans la partie avec des premières minutes de jeu intéressantes, observe Djoued Mansouri, conscient de la différence de forme entre les deux équipes.Et puis il y a eu une baisse de régime même si on aurait pu bénéficier d’un penalty après le premier quart d’heure. C’est aussi logique quand on sait que le groupe a un peu délaissé l’entraînement ces dernières semaines. On savait que ça allait être dur contre un adversaire mieux préparé et sur la lancée du Championnat. Il fallait bien gérer ses efforts. Le succès du Val d’Orge est amplement mérité. Il n’y a rien à dire. Aujourd’hui, on est tout de même satisfait d’être là au terme de cette saison de transition pour la VGA Saint-Maur. Il fallait surtout répondre présent pour bien digérer la descente de D1 et le départ de plusieurs éléments. C’est ce qu’on a fait. »

En deuxième mi-temps, les coéquipières de Kani Konté, très active sur le fanc droit, ne parviennent pas à inverser la tendance. Val d’Orge garde la mainmise sur cette finale qui perd toutefois en intensité au fil des minutes. La chaleur pèse sur les joueuses qui n’oublient pas, à la demande de l’arbitre, d’effectuer une pause fraîcheur à l’instar de toutes les autres rencontres du week-end. Malgré la fatigue au terme d’une saison harassante, la VGA résiste avec courage mais elle ne peut empêcher Charlotte Fernandes, avec un subtil lob, d’aggraver la marque (3-0, 63′). A ce moment précis, les derniers espoirs s’envolent dans le camp saint-maurien. Un joli numéro de Konté, récompensée de ses efforts, vient cependant entretenir l’espoir face à une équipe moins vigilante (3-1, 77e).

Ce petit but redonne le sourire à une formation marquée quelques instants auparavant par la sortie sur blessure de sa gardienne Nastasia Gouthiere, applaudie par l’ensemble du public et des joueuses. Dans les cages, sa remplacante opère plusieurs parades décisives pour éviter une nouvelle sanction. En revanche, elle est battue lors de son duel avec Julie Machart qui clôt la marque (4-1, 88′) à l’approche des arrêts de jeu. Le clou d’un spectacle disputé avec fair-play dans un état d’esprit irréprochable. « On a eu du mal à se mettre en route et puis nous avons réussi à multiplier les bonnes séquences de jeu », analyse avec fierté Nicolas Carric. Tout n’a pas été parfait, loin de là, mais je suis fier du comportement des joueuses qui ont préparé cette finale avec le plus grand sérieux. Il y a du niveau en face et on a payé tout de suite notre moment d’égarement en seconde période. Ce succès en Coupe de Paris, c’est historique pour le club et on ne pouvait pas rêver mieux pour finir la saison et s’offrir des vacances bien méritées. »

En dépit du revers sur la dernière marche, la VGA Saint-Maur n’hésitait pas à retenir, par la voix de son entraîneur, l’excellente organisation autour de ces finales du côté de Saint-Brice. « Nous avons été très bien accueillis ici, dans une supberbe ambiance. Tout a été fait pour nous mettre dans les meilleurs conditions possibles. C’est tout le travail admirable de ces bénévoles qui ne sont pas, à mon avis, assez reconnus à leur juste valeur. Ce genre de finales, on en redemande forcément. C’est particulièrement plaisant », se félicite Djoued Mansouri. Une conclusion en forme d’hommage pour rappeler qu’au delà du sacre logique du Val d’Orge, c’est une nouvelle fois le football féminin et surtout le football francilien qui sont ressortis grand vainqueurs de ce week-end à Saint-Brice. 

La fiche de la finale de Coupe de Paris IDF :

Val d’Orge / VGA Saint-Maur : 4-1 (2-0)

Arbitre : Siham Boudina
Stade Léon Graffin, à Saint-Brice
Samedi 10 juin (18h15)

Buts : Chatelain (38′ et 43′), Fernandes (63′) et Machart (88′) pour Val d’Orge ; Konté (77′) pour la VGA Saint-Maur

Val d’Orge : Belouet – Mollet, Bocquet, Butel, Bruere – Pasquet, Dunord, Lebailly, Traikia – Chatelain, Machart

VGA Saint-Maur : Gouthiere – Konte, Hacard, Nowak, Amaro – Paprzycki, Robert, Boumrar, Montgenie – Abidi, Albon

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