13-14/12/2025

Poursuivant sa volonté d’être à l’écoute des clubs et dans le cadre du Dispositif Global de Prévention, le Comité Directeur a mis en place un dispositif de permanence téléphonique. 

Permanence du week-end des 13 et 14 décembre 2025
Christine AUBERE
06.17.47.21.11

Cette ligne est réservée aux problèmes ou anomalies exceptionnels ne pouvant pas trouver de solution immédiate sur le stade sans l’intervention d’une tierce personne qualifiée tels que, par exemple :
– conditions de sécurité problématique dès l’accueil (spectateurs hostiles, absence de
protection de l’équipe visiteuse, menaces etc.),
– problèmes réglementaires (refus de désigner 1 ou des arbitres de touche si pas d’officiels,
obstruction à la réalisation des vérifications d’avant match etc.)
– anomalies diverses (maillots des 2 équipes identiques, changement de stade à la dernière
minute, etc.)

Les incidents et éléments communiqués à la personne d’astreinte feront l’objet d’un rapport qui sera transmis à la commission Régionale de Prévention, Médiation et Education (CRPME) pour suite à donner.

Nota Bene :
. Ce dispositif n’est applicable que sur les compétitions organisées par la Ligue.
. Pour faciliter les échanges et laisser la possibilité à la personne d’astreinte de rappeler un interlocuteur, il est conseillé de ne pas appeler avec un numéro masqué.

LES FRANCILIENS À LA COUPE DU MONDE : W. SEMEDO (2/2)

Comme lors de la dernière édition en 2022, beaucoup de joueurs originaires d’Île-de-France disputeront la Coupe du Monde 2026, qui aura lieu en juin et juillet aux États-Unis, au Mexique et au Canada. Il y en aura évidemment en Équipe de France, mais aussi avec d’autres sélections. À l’image de Willy Semedo, qui s’est qualifié avec le Cap-Vert pour la compétition reine. Retour sur les années franciliennes de cet attaquant de 31 ans, qui évolue actuellement à l’Omonia Nicosie (Chypre).

La fiche de Willy Semedo
> La première partie de l’interview

De vos années de football en Île-de-France, avez-vous des coéquipiers qui sont devenus pros comme vous ?
Oui. A Montrouge, j’ai évolué pendant deux ans avec Tiémoué Bakayoko, en 13 ans PH et DH. Ensuite, il est parti à Rennes. Il y a d’autres joueurs qui ont un peu touché le monde professionnel, comme Gianni Seraf, qui avait signé à Montpellier, un gros talent aussi. Beaucoup de joueurs ont signé au PSG, mais n’ont pas passé le cap pour devenir professionnel. Après, à Vincennes, j’ai côtoyé deux joueurs que j’ai retrouvés en Ligue 2, Arsène Elogo, un très bon ami avec qui je suis toujours en contact, et Redouane Kerrouche.

A quel moment avez-vous eu envie de devenir pro ? Quand vous êtes-vous dit que vous pouviez le faire ?
Dès que j’ai commencé le football, j’ai eu ce rêve en tête. Cela a toujours été un objectif pour moi. Après, je n’avais aucune garantie, aucune certitude de pouvoir le réaliser, mais j’avais toujours cet objectif, même quand j’ai évolué à des niveaux beaucoup plus bas. Si je n’y arrivais pas, ce n’était pas la fin du monde, mais je voulais mettre toutes les chances de mon côté pour ne pas avoir de regrets.

Et c’est en partant de Montrouge vers Chypre que cela se concrétise ?
Je jouais à Montrouge, en DSR et en D1, et j’ai eu l’opportunité de faire un essai à Chypre. Mais, quand j’arrive à là-bas, je joue en D4, quasiment la plus basse division. On va dire que c’est le début de mon chemin pour arriver dans le monde professionnel.

Y a-t-il des éducateurs, dans vos années franciliennes, qui vous ont particulièrement marqué ?
A l’école de foot, à Arcueil. Ce sont des personnes qui m’ont vu grandir, qui travaillent encore au club. Après, j’ai eu des éducateurs qui ont été dans de bons clubs par la suite, comme Alexandre Monier et Mathieu Lacan (Paris FC), ou Saïd Aïgoun, mon coach en U14 Fédéraux, qui a été l’adjoint de Patrick Vieira à Crystal Palace.

Avez-vous connu des sélections en équipes de District ou Ligue ?
Non, rien, l’INF Clairefontaine non plus. J’étais allé à Clairefontaine en prenant la place de Tiémoué Bakayoko, qui était un crack et était directement sélectionné. Cela s’était très bien passé mais comme je n’étais pas inscrit, je ne suis pas allé plus loin.

En revanche, des années plus tard, vous avez bien été sélectionné avec le Cap-Vert, et l’histoire est magnifique avec cette Coupe du Monde en point de mire…
C’est ça. Il y a quelques années, c’était encore inimaginable pour le pays. Mais à force de travailler dans de bonnes conditions, avec à peu près le même groupe et le même coach depuis 5 ans, ça a payé. C’est un rêve, ça n’arrive qu’une fois dans une vie, il faudra en profiter à fond. C’est une fierté de pouvoir représenter mon pays d’origine, celui de mes parents. Et pour ce qui est du tirage, on est content. On va pouvoir affronter la meilleure équipe du monde, l’Espagne. Nous sommes dans un groupe très relevé, avec l’Arabie Saoudite et l’Uruguay, deux très bonnes équipes. On voudra profiter de ces moments-là. On a hâte d’y être, de pouvoir démarrer cette compétition et se mesurer aux meilleures équipes du monde. Je pense qu’il y aura un coup à jouer.

JALLET : « APPRENDRE LES UNS DES AUTRES »

Comme Samuel Umtiti, l’ancien Bleu Christophe Jallet fait partie de la promotion du BEF (Brevet d’Entraîneur de Football) 2025/2026 de la Ligue de Paris Île-de-France. L’actuel entraîneur adjoint de l’équipe de France Espoirs raconte sa formation au Campus Domaine de Morfondé.

> La fiche de Christophe Jallet

Comment avez-vous vécu vos premières semaines de formation au BEF à Morfondé ?
Cela se passe très bien, il y a un bon groupe de travail, avec de l’intensité à la fois dans les séances et dans les cours proposés. C’est une promo très dynamique, donc c’est facile de s’intégrer.

Pourquoi avoir choisi la Ligue de Paris Île-de-France pour cette formation ?
D’abord parce que je dépends de cette Ligue. Travaillant à Clairefontaine, c’était le plus simple pour moi de venir à la Ligue de Paris. Il y a des structures intéressantes, avec du matériel à disposition et surtout aussi de la compétence.

Vous avez été accompagné dans les démarches pour trouver un club dans le cadre de cette formation…
Oui. Etant avec les Espoirs, j’ai été accompagné dans la recherche d’un tuteur et une équipe, pour mettre en perspective ce que l’on apprend ici et être à même de répondre de la bonne façon pour obtenir le diplôme. Je suis donc dans le club de Bailly Noisy avec Louis Lenaff, je serai charge de quelques entraînements de l’équipe première, et peut-être aussi avec les jeunes.

On dit souvent que Morfondé est un petit Clairefontaine, qu’en pensez-vous ?
Oui, c’est vrai. C’est plus petit mais on a la même ambiance : des bois, du brouillard et pas toujours le soleil (rires). Au niveau des conditions de travail, c’est très agréable. Cela permet à plusieurs promos et diplômes d’être sur le même lieu donc c’est intéressant.

On parle beaucoup de la qualité des formateurs, qui participent à la qualité du vivier francilien…
Il y a beaucoup de demandes donc c’est très intéressant de pouvoir faire partie de ce genre de promotion, parce qu’il n’y a pas beaucoup d’élus. C’est une chance que l’on a de pouvoir bénéficier de cette qualité d’enseignement et d’accompagnement sur et en dehors du terrain.

Au niveau des membres de la promotion, il y a des parcours très différents, ce qui peut être enrichissant…
Oui, on a tous à apprendre les uns des autres, que l’on ait un cursus professionnel ou amateur. Aujourd’hui, on voit que des entraîneurs sont confrontés à des problématiques que l’on n’a pas forcément connues dans le milieu pro. Donc c’est intéressant d’avoir ce mélange d’idées, de débats, qui peut nous faire ouvrir les yeux sur certaines choses que l’on ne connaît pas.

UMTITI : « DANS LES MEILLEURES CONDITIONS POUR ME FORMER »

Après Robert Pires il y a deux ans, un autre champion du monde français a choisi la Ligue de Paris Île-de-France et le Campus Domaine de Morfondé pour se former au BEF (Brevet d’Entraîneur de Football) : Samuel Umtiti.

> La fiche de Samuel Umtiti

Comment se passe votre formation BEF au Campus de Morfondé ?
Cela se passe bien. On est bien évidemment là pour se former. Il y a la théorie et la pratique sur le terrain, on a tous envie d’être entraîneurs. Personnellement, cela me permet de sortir de ce statut de joueur et de comprendre exactement comment fonctionne le management.

Pourquoi avoir choisi la Ligue de Paris Île-de-France et Morfondé ?
J’avais énormément de projets à Paris, je suis souvent en région parisienne, donc j’ai décidé de passer les diplômes avec la Ligue de Paris Île-de-France. C’est la Ligue la plus importante, je savais que j’allais être dans les meilleures conditions pour me former, avec les très bons formateurs et les terrains qu’il y a ici. Aussi, notre promotion est incroyable. On est tous un peu différents avec notre vécu, on essaie de prendre un peu de tout le monde et même de s’aider quand on a du mal sur certaines choses. Je trouve ça vraiment important. Pas mal de personnes viennent du monde amateur, que je n’ai pas connu. J’apprends, j’écoute, et je me rends compte que j’ai eu de la chance parce qu’il y a certaines problématiques que je n’ai pas connues. Et j’essaie aussi de donner des conseils par rapport à mon vécu et mon expérience.

Morfondé, on entend parfois que c’est un petit Clairefontaine, un lieu que vous connaissez bien…
C’est vrai que ça y ressemble totalement. Le temps déjà (rires)… Et il y a des installations qui me font un peu penser à Clairefontaine, au niveau des terrains.

Vous avez été accompagné dans vos démarches par rapport à cette formation…
Oui, j’ai eu la possibilité d’être accompagné. Je venais juste d’arrêter ma carrière donc c’était un peu compliqué pour moi de trouver un club qui pouvait me donner l’opportunité de me former pendant toute cette saison. Julien Gout (DTR de la Ligue) avait les contacts et, grâce à lui, j’ai pu trouver le Paris FC.

On parle toujours du vivier francilien au niveau des joueurs, celui-ci existe aussi grâce aux formateurs…
Sur la Ligue de Paris Île-de-France, il y a énormément de très bons joueurs, on le sait tous. Les formateurs font tout le nécessaire pour faire progresser et évoluer les joueurs. On voit chaque année tous les joueurs qui sortent de la région, c’est incroyable. Il y a beaucoup de talent ici, et on peut aussi féliciter les formateurs.

> Un jour au BEF avec Umtiti et Jallet

LE MATCH DU WEEK-END

Réunionnaise de la Vallée Orge – ASC BNP Paribas 6-1
Entreprise Critérium R2 Poule A, 8ème journée

Le compte-rendu

La rencontre est équilibrée entre deux formations qui mettent du rythme. Les joueurs de la Réunionnaise Vallée Orge vont frapper les premiers. Tony D profite d’une erreur défensive pour se retrouver face au gardien adverse et finit bien (1-0, 9e). Quelques minutes plus tard, une action similaire se produit, le portier de l’ASC BNP Paribas veut dribbler mais se fait contrer par Elton B qui va terminer dans le but vide (2-0, 17e). Malgré ses deux erreurs, les visiteurs ne baissent pas les bras et la première période continue d’être serrée dans le jeu.

Une deuxième mi-temps prolifique

Au retour des vestiaires, les deux équipes se procurent quelques situations mais sans être vraiment dangereux. Lancé sur le côté gauche, Enzo R frappe en force et voit son tir dévié par le gardien dans ses propres buts (3-0, 58e). Une joie de courte durée pour la Réunionnaise Vallée Orge qui concède un penalty après une faute de son gardien. Jean-Christophe W ajuste le portier adverse et réduit le score (3-1, 66e). Le rythme de la rencontre s’intensifie pendant plusieurs minutes, puis, Enzo R inscrit son deuxième but de la journée après une belle passe de Stedson M pour éteindre les derniers espoirs de l’ASC BNP Paribas (4-1, 78e). En fin de match, Enzo R va s’offrir un triplé d’une frappe à l’entrée de la surface (5-1, 85e), avant que Kevin N, bien lancé en profondeur, ne vienne parachever le succès des siens (6-1, 90e).

> La feuille de match
> Les résultats de la 8ème journée de la poule A en Entreprise Critérium R2

Les réactions

LES FRANCILIENS À LA COUPE DU MONDE : W. SEMEDO (1/2)

Comme lors de la dernière édition en 2022, beaucoup de joueurs originaires d’Île-de-France disputeront la Coupe du Monde 2026, qui aura lieu en juin et juillet aux États-Unis, au Mexique et au Canada. Il y en aura évidemment en Équipe de France, mais aussi avec d’autres sélections. À l’image de Willy Semedo, qui s’est qualifié avec le Cap-Vert pour la compétition reine. Retour sur les années franciliennes de cet attaquant de 31 ans, qui évolue actuellement à l’Omonia Nicosie (Chypre).

> La fiche de Willy Semedo

Le petit garçon qui a commencé le foot à Arcueil pouvait-il imaginer un jour disputer une Coupe du Monde ?
En fait, ce sont des rêves que l’on se met dans la tête quand on est jeune, quand on démarre le football. Pouvoir disputer une Coupe du Monde, ça en faisait partie. Il y a de fortes chances que j’y sois cet été, mais on n’y est pas encore. C’est exceptionnel d’avoir pu participer à cette qualification.

Revenons au tout début, à Arcueil (voir photo à la fin de l’article)…
Arcueil, c’est là où j’ai grandi et fait mes premières classes dans le foot. D’ailleurs, j’y habite toujours, je suis un Arcueillais. Pour le foot, j’ai suivi les traces de mon grand frère. Quand on est petit, on aime bien suivre le frère aîné, il faisait du foot donc ça a été un choix qui s’est fait naturellement pour moi. C’était top, que du plaisir. De débutant jusqu’à benjamin 2ème année, je n’ai que de bons souvenirs. Arcueil, c’est une petite ville, donc je suis encore en contact avec beaucoup de monde au club.

Ensuite, vous partez à Montrouge (voir photo ci-dessous). Pourquoi ?
C’est la ville voisine d’Arcueil et, en Île-de-France, tout le monde connaît ce club, l’un des meilleurs de la région au niveau amateur, si ce n’est le meilleur à l’époque. Ils avaient toutes leurs catégories de jeunes dans les meilleures divisions donc, forcément, c’est attirant. J’ai tenté ma chance, je suis parti en détection à Montrouge, voilà comment cela s’est fait. Pour moi, je n’étais pas au-dessus du lot, j’étais un joueur dans la norme, mais peut-être que les dirigeants de Montrouge avaient vu un certain potentiel en moi. Je suis arrivé en 13 ans PH, ensuite j’ai joué en 13 ans DH, 14 ans Fédéraux et U17 DSR. C’était bien, il y avait une certaine exigence, beaucoup de bons joueurs qui signaient dans des centres de formation. Montrouge, c’est une belle vitrine, tu es entouré des meilleurs de ta génération en Île-de-France. C’était top de pouvoir aussi se confronter aux meilleurs d’Île-de-France chaque week-end et de jauger un peu son niveau.
Votre parcours francilien se poursuit à Vincennes…
À Montrouge, à l’époque, ils n’avaient jamais eu de U17 Nationaux. J’ai eu l’opportunité d’aller jouer à ce niveau en rejoignant Vincennes et j’ai saisi cette chance. Cela faisait un peu loin, mais je voulais jouer au plus haut niveau. Malheureusement, on est descendu, mais ça fait partie de l’apprentissage.

Vous jouez ensuite à l’ACBB (Athletic Club Boulogne-Billancourt)…
J’y suis arrivé en U19 1ère année. J’avais loupé la reprise et ils m’avaient mis en excellence ou en 1ère division, je ne sais plus. Comme ça se passait bien, je suis monté en DHR et, à la fin de la saison, je me suis entraîné avec le groupe DH. Cela s’est terminé, et j’ai décidé de revenir à Montrouge. Je ne voyais pas l’intérêt d’aller aussi loin pour ne pas jouer en DH. Montrouge, c’était près de chez moi et ça restait un très bon club. Je me suis retrouvé en U19 DSR, on a fait une belle saison et on est monté en DH.

Vous êtes un symbole de cet énorme vivier francilien, avec du talent partout dans la région. Quelle image en avez-vous a posteriori ?
Franchement, c’était dur. Il y a beaucoup de bons joueurs, c’est très physique, très technique, très rapide… Franchement, il y a des bons joueurs aux quatre coins de l’Île-de-France, dans n’importe quelle équipe, n’importe quelle division. Il y a beaucoup de talent. Ce ne sont que de bons souvenirs. Cela permet de se former, à défaut d’aller en centre de formation. C’est une très bonne région pour progresser. On se confronte chaque week-end aux meilleurs et quand on a la chance de jouer en U17 et U19 Nationaux, on rencontre des centres de formation. Entre eux et ton équipe de région parisienne, il n’y a pas un grand écart de niveau, alors qu’eux s’entraînent tous les jours et toi deux ou trois fois par semaine.

EMPLOIS

Avec plus de 320 000 licenciés et 1100 clubs, la Ligue de Paris Île‐de‐France de Football (LPIFF) est la première Ligue au niveau national.

Dans le cadre de son développement et de son dynamisme, la Ligue recrute dans différents domaines :

– Directeur.trice des Affaires Institutionnelles – CDI :  Fiche de poste

– Conseiller technique en arbitrage :  Fiche de poste

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Vous souhaitez nous rejoindre ? Nous vous invitons à adresser un cv et une lettre de motivation à recrutement@lpiff.fr.

ZOOM SUR : LES ÉTOILES DE MOUSSY U18 FUTSAL R3

Le club des Étoiles de Moussy est à l’honneur cette semaine grâce à ses U18 Futsal qui réalisent un très bon début de saison en R3. Retour sur ce beau départ avec la secrétaire général et éducatrice de l’équipe moussyssienne, Laëtitia Collado.

Le début de saison : 2ème de la poule B en U18 Futsal R3

« Le début de saison se passe très bien, on encadre des joueurs qui sont vraiment impliqués. Notre projet social est de faire en sorte qu’ils ne traînent pas trop dans la rue. Ça se passe très bien en match, nous avons des jeunes bien éduqués et qui ont envie de gagner le titre. On a un peu raté notre début de saison et les deux premiers matchs mais ça va mieux aujourd’hui. Nous avons beaucoup d’objectifs cette année car on a un effectif incroyable avec des joueurs hyper talentueux et un beau collectif. »

Le classement de la Poule B en U18 Futsal R3

Le dernier match : victoire contre le Smaj Futsal (12-6) à domicile lors de la 6ème journée

« On gagnait 10-1 à la mi-temps, mais cette saison le plus compliqué pour notre équipe c’est la seconde période. Les joueurs se relâchent à chaque fois et finalement nous avons remporté la rencontre 12-6. Globalement, cela s’est très bien passé, on est très satisfaits des joueurs. »

> La feuille de match
> Les résultats de la 6ème journée de la poule B U18 Futsal R3

Le prochain match : réception de Diamant Futsal (R3) pour le 3ème tour de la Coupe Nationale U18 Futsal

« Nous n’avons jamais affronté l’équipe de Diamant mais on essaye de se renseigner via les réseaux sociaux. Nous sommes un petit club qui affronte des gros clubs, mais notre but est toujours de gagner. On se renseigne, on travaille dur à l’entraînement pour tenter de remporter ce 3ème tour. Nous avions perdu au premier tour la saison passée, donc l’objectif cette année est d’aller le plus loin possible et pourquoi pas gagner la Coupe Nationale U18 Futsal. »

> Les infos du match

CDF 32ÈMES : LE TIRAGE DES FRANCILIENS

Le tirage au sort des 32es de finale de la Coupe de France Crédit Agricole a eu lieu ce lundi 1er décembre au Parc des Princes avec quatre clubs franciliens concernés. Ce tour marque l’entrée en lice des équipes de Ligue 1 dont le PSG et le Paris FC. De son côté, l’US Lusitanos Saint-Maur (N2) recevra le LOSC (L1). Toutes les informations ci-dessous.

Les 32èmes de finale de la Coupe de France sont désormais connus après le tirage au sort de ce lundi. Un tour qui marquait l’entrée en lice des clubs de Ligue 1 avec nos deux équipes franciliennes : le PSG, tenant du titre, et le Paris FC. Les deux clubs parisiens sont tombés sur des équipes amateurs lors de ce tirage au sort. Le PSG se déplacera chez Vendée Fontenay Foot (N3) tandis que le Paris FC ira à Raon l’Étape (R1). C’est l’US Lusitanos Saint-Maur qui hérite d’un gros morceau avec la réception d’un club de Ligue 1, le LOSC. Les rencontres auront lieu les 19, 20 et 21 décembre prochains.

Mapril Baptista, président de l’US Lusitanos Saint-Maur, revient sur ce tirage au sort exceptionnel : « J’aurais préféré tomber sur une R1 bien évidemment et une Ligue 1 un peu plus tard pour avoir plus de chances de continuer l’aventure. Le sort fait que l’on va recevoir Lille et j’en suis très heureux, bien entendu. Cela va être un évènement inoubliable au stade Chéron à Saint-Maur. Je ne ressens que de la fierté, je suis ravi pour mon staff, mes joueurs et notre coach Hélder Esteves qui fait un travail magnifique. Ce n’est que du bonheur pour nous tous.

En 60 ans, nous avons joué les 32èmes de finale de la Coupe de France à deux reprises dans notre histoire, ce sera la troisième contre Lille. C’est un évènement, bravo à notre équipe qui fait au mieux. »

Les affiches de nos équipes franciliennes en 32èmes de finale de la Coupe de France :

US Raon l’Etape (R1) – Paris FC (L1)
Vendée Fontenay Foot (N3) – Paris Saint-Germain (L1)
US Saint-Maur Lusitanos (N2) – LOSC Lille (L1)
Montreuil FC (R1) ou US Granvillaise (N2) – US Chauvigny (N3)

Crédit photo : Philippe Le Brech / FFF

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