VIVEMENT DEMAIN !

Publié le 25/06/2023

S’ils étaient producteurs de films, les LOPES DE SUSA père et fils seraient sans doute ceux de : « Mais qu’est qu’on a fait au Bon Dieu ? ».

COUPE NATIONALE FUTSAL, D1 FUTSAL et, chez les féminines, COUPE DE PARIS CRÉDIT MUTUEL ÎLE-DE-FRANCE : trois finales, trois défaites.

Le SPORTING DE PARIS en mode Poulidor. Une saison que, toutefois, beaucoup de clubs pourraient envier car passé la Ligue des champions et son Tour Élite qui aspirent tant d’énergie aux participants, le club parisien a fait un très joli parcours jusqu’aux trois finales.

At last but not least, commençons par celle du samedi 17 juin où les féminines du SPORTING se sont inclinées en COUPE DE PARIS CRÉDIT MUTUEL ÎLE-DE-FRANCE face au DIAMANT FUTSAL. Une défaite serrée (3-1) qui témoigne avant tout du développement de la pratique féminine sur laquelle le club du 13ème arrondissement mise beaucoup.

Avant cette finale, il y a eu cette première confrontation le 10 juin à Pessac en COUPE NATIONALE FUTSAL face à L’Étoile Lavalloise, « le meilleur ennemi » du club cette saison. Une finale perdue 2-0 où les parisiens n’ont pas démérité et qui s’est jouée en l’espace de deux minutes en faveur des mayennais à la demi-heure de jeu.

In fine, la finale du 17 juin à Cæn (photo), la plus belle est sans doute celle qui laisse le goût le plus amer de la défaite. Une finale complètement folle où les parisiens ont semblé rouler sur leurs adversaires lavallois lorsqu’après seulement 3′ de jeu ils menaient déjà 2-0 (buts de AYOUB SAADAOUI puis dans la foulée THIAGO TELES MARTINS). Mais très vite aussi, L’Étoile Lavalloise digérait cette mauvaise entame pour mieux dévorer son adversaire et arriver à la mi-temps avec une petite avance (4-3) qui se transformait en victoire finale (5-3).

Une saison donc contrastée pour le SPORTING DE PARIS, sans titre mais avec tellement de promesses que la saison prochaine est attendue avec gourmandise.

TD

 

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