Publié le 18/05/2017

Pour la première fois de la saison, les sept matches vont se disputer au même moment lors de la vingt-cinquième journée de Division d’Honneur. De quoi rajouter du suspense dans un Championnat qui n’en manque guère pour le titre comme pour le maintien.

Il n’y aura plus de calculs possibles. Il faudra jouer le coup à fond et aller jusqu’au bout de l’effort pour ne rien regretter la semaine suivante. Au-delà de son programme alléchant, l’avant-dernière journée de Division d’Honneur a surtout la particularité de proposer huit affiches en simultané. Une première au cours de cette saison marquée par un suspense inédit mais logique au vu des grands enjeux qui galvanisent l’élite francilienne depuis tant de semaines. Pour  la récompense suprême, Versailles (1er) et les Mureaux (2e) auront forcément un œil attentif sur la performance du rival.

Une saine bataille de voisinage qui pourrait prendre fin avant même l’ultime épisode si le leader obtient, face à Bobigny (5e) devant son public, un meilleur résultat que son dauphin, en mission au Blanc-Mesnil (4e) pour maintenir la pression. Les Gobelins (3e), désormais trop en retard pour rafler la mise, ont tout de même à défendre leur place sur le podium. Les coéquipiers de Juré Primorac entendent finir en beauté à domicile contre la Garenne Colombes (11e) qui n’a pas encore assuré son maintien au sein du plus haut échelon régional. Pression maximale sur les épaules d’Issy (12e) qui se rend au PSG (8e) avec une seule petite longueur d’avance sur Montreuil (13e), toujours vivant au moment de rendre visite au Mée (10e).

Dernier espoir pour Evry (14e) condamné à une victoire aux dépens des Lilas (9e) pour récompenser la vaillance et l’abnégation de tout un collectif. Au Racing-Colombes (7e), le match face aux Ulis (6e) s’avère être d’une importance capitale pour la montée. L’équipe emmenée par Armand Bouzaglou espère renouer avec son glorieux passé. Mais le club de l’Essonne, également tenté par les joutes nationales, veut aussi s’offrir un avenir radieux. Pour l’heure, l’histoire s’écrit au présent avec cette avant-dernière marche qu’il ne faut pas louper…