Le PSG tombe à la Garenne-Colombes

Trois match joués simplement, ce week-end, dans ce championnat Régional 1 mais une grosse surprise avec la victoire de la Garenne-Colombes, avant-dernier avant le rencontre, qui s’est payé le scalp du leader, le PSG (2-1). 

Si les Parisiens restent en tête puisque leurs principaux poursuivants n’ont pas joué, les joueurs de la Garenne-Colombes font un bond au classement et sortent de la zone de relégation à la 9e place. Il passe notamment devant Conflans, tenu en échec (1-1) à Chatou. 

Dans la dernière rencontre, ça ne s’arrange pas pour la lanterne rouge, le Maccabi Paris UJA dominé (0-1) par Saint-Brice.  

Le CA Paris opportuniste

Avec les reports en cascade, les équipes qui ont pu évoluer ce week-end avaient l’opportunité de marquer les esprits. C’est ce qu’a fait parfaitement le CA Paris qui est allé s’imposer (1-2) sur la pelouse de la VGA Saint-Maur. Les Parisiennes conservent leur deuxième place et reviennent à quatre longueurs du leader, Vaux-le-Pénil La Rochette, qui compte évidemment un match en plus à disputer. 

Dans l’autre rencontre, belle opération du Cosmo Taverny qui, grâce à son succès (0-3) au PFC, prend une distance très confortable sur la zone de relégation.  

Les semeuses ont planté la première graine

C’est le premier grand rendez-vous organisé dans le cadre des animations pour la prochaine Coupe du Monde féminine. La Ligue a tenu, samedi matin, son colloque intitulé « les Semeuses de la République ». Un événement tant par le prestige du lieu où il s’est déroulé, le Palais du Luxembourg, que par la qualité des intervenants qui ont balayé les champs sportifs, sociétaux et géopolitiques du développement du foot féminin en échangeant avec les clubs franciliens mais aussi avec les élus présents au premier rang desquels Anne Hidalgo, la Maire de Paris, qui avait répondu à l’invitation de la Ligue.

«Que les jeunes filles fassent du sport entre elles, dans un terrain rigoureusement clos, inaccessible au public : oui d’accord. Mais qu’elles se donnent en spectacle, à certains jours de fêtes, où sera convié le public, qu’elles osent même courir après un ballon dans une prairie qui n’est pas entourée de murs épais, c’est intolérable ! » Voilà ce que déclarait Henri Desgrange, grand journaliste leader d’opinion et par ailleurs créateur du Tour de France dans les années 20 à propos du football féminin. Une déclaration surréaliste alors même que, comme le souligne Bruno Fouchet, Vice-Président délégué de la Ligue, dans son propos introductif du colloque « le football féminin réunissait au début du siècle 45 000 spectateurs dans des stades en France comme en Angleterre. Aujourd’hui le football féminin est dans une année charnière de son évolution. A la ligue depuis six ans nous nous engageons pleinement et entièrement dans le développement du foot féminin. C’est une volonté sans faille et sans limite impulsée par Jamel Sandjak. »  

Le Président de la Ligue qui rappelait que « Participer activement et pleinement à la mutation de notre monde pour qu’il se vive et s’écrive autant au féminin qu’au masculin, sans frontière, sans limite et sans préjugé de genre, voilà le combat dans lequel s’est inscrite résolument la Ligue depuis six années. Elle n’a cessé de promouvoir la féminisation de notre sport, tant dans la représentativité de ses instances que dans ses initiatives constantes pour favoriser le développement du football féminin. L’avenir est là, et le symbole de la Coupe du Monde féminine, l’accroissement constant des licenciés, l’engouement du public pour le football féminin sont autant de signes qui disent combien nous avions raison. Rendre hommage et commémorer le rôle des femmes est évidemment nécessaire, dire l’égalité femmes-hommes est indispensable, mais rien ne changera si nous ne faisons pas vivre dans les faits cette égalité au quotidien »

Et cela passera par une mobilisation de tous. Les institutions et notamment la FFF, les clubs, amateurs comme professionnels puisque le PSG et le PFC étaient présents, mais aussi les collectivités locales avaient répondu à l’invitation. Et quel lieu plus symbolique pour évoquer ces sujets que le Sénat « la maison des collectivités locales » comme le rappelait Rachid Temal, Sénateur du Val-d’Oise et passionné de foot, qui a œuvré pour que le colloque se déroule dans cet endroit si prestigieux. « Le foot et la politique marchent souvent ensemble. Dans l’histoire les liens existent entre la politique et le foot. Le foot n’est pas celui qui cristallise les problèmes, il est souvent révélateur de tensions mais aussi des belles valeurs qui traversent notre société française. Le foot est un sport universel mais nous n’avons pas été jusqu’au bout en laissant la moitié de l’humanité de côté. Le développement du foot féminin est donc un véritable enjeu. Le foot est central dans la vie du pays. Il unifie, rassemble. C’est un enjeu de mixité de sexe et social. »

Les aspects sociaux et sociétaux étaient au cœur des débats. Le sujet de la laïcité et une réflexion sur le cadre juridique de la gestion des faits religieux dans la pratique du football féminin ont été présentés par Nicolas Cadène, rapporteur général de l’Observatoire de la Laïcité. Carole Gomes, chercheuse à l’IRIS, coordonnatrice du projet UNESCO / UNFP sur le football, lui succédant à l’estrade pour évoquer la féminisation du football désormais enjeu géopolitique, tandis que Patrick Mignon, sociologue ancien responsable du laboratoire de sociologie de l’INSEP et membre du comité scientifique de sport et citoyenneté livrait son regard sur la place des femmes dans le foot sous l’angle sociétal.

A l’issue de ces trois interventions un débat s’est engagé, sous la houlette de Jean-Frédéric Pianelli, entre les clubs et les trois experts. Un dialogue riche où les problématiques de la sécurité d’accueil des jeunes filles, le manque d’installations ou les barrières culturelles qui existent encore ont été soulignés par les représentants des clubs.

Les nombreux élus de la République, présents samedi, dont Céline Boulay-Esperonnier, Sénatrice de Paris et co-rapporteure de la Délégation des Droits des Femmes et Othman Nasrou, membre du Conseil Régional, ont également pu échanger avec eux. Patrice Leclerc, Maire de Gennevilliers, a ainsi rappelé que repenser les questions d’urbanisme afin de répondre aux problématiques du manque d’installations était une priorité. La nécessité d’une mixité sur les terrains mais aussi dans les comités de direction a également été soulignée, tandis que Karl Olive, Maire de Poissy et ancien patron des sports de Canal +, après avoir remercié la Ligue pour son initiative, a insisté sur la projection médiatique indispensable pour le développement de ce football féminin. Evelyne Ciriegi, Présidente du CROSIF mettant le doigt, pour sa part, sur la nécessité d’ouverture de la discipline à un maximum de jeunes filles sans que leur religion et leur pratique religieuse ne soient un frein.  

Des échanges nourris qui se sont poursuivis par l’intervention très attendue d’Anne Hidalgo. La Maire de Paris s’est voulue d’emblée optimiste en affirmant que « Si nous parlons de cette féminisation c’est que les choses bougent. Il y a plein de bonnes nouvelles. Dans le cadre des JO 2024 nous avons porté l’idée que le sport pouvait apporter énormément à la société française. Nous avons réfléchi sur le désir de voir le sport tenir une place plus importante. Le sport c’est une discipline, une école de vie. On apprend à tomber, à se relever, c’est une école de partage. Aujourd’hui nous sommes prêts, les politiques, les médias, les citoyens. Cela passera par le sport féminin car les filles ont envie. Elles en ont assez d’être reléguée au second rang. Nous avons envie que les filles s’engagent dans le sport sans stéréotype de genre. Nous sommes mûrs. Le déclic est là. On doit tous pousser dans le même sens et dans cet objectif le soutien de la Ligue et de son président Jamel Sandjak est essentiel. Les JO comme la Coupe du Monde seront des moteurs qui obligent à produire des choses et à penser en termes d’héritage sur les infrastructures. Il faut se donner les moyens même si nous rencontrons des difficultés dans la politique d’investissement. Nous avons un boulevard pour avancer. La société française s’interroge sur elle-même, sur la façon dont on vit ensemble. On peut en sortir quelque chose de positif. La parole se libère et c’est le bon moment pour mettre le sport et le foot féminin au centre du jeu. Se priver de la moitié de l’humanité c’est se priver d’avenir. Le rôle du sport féminin est majeur et le foot est si populaire que c’est un patrimoine culturel humain, un vecteur pour avancer et faire évoluer la société française. »

« Tous ensemble nous sommes liés » a conclu Ahmed Bouajaj, le Secrétaire Général de la Ligue, et « tous ensemble, Ligue, clubs, collectivités nous y arriverons. » Un discours entendu et apprécié par les principaux acteurs de cette féminisation que sont les clubs. Des clubs qui, à la fin de ce colloque, ne cachaient pas leur satisfaction. A l’image de Fatima Amaria, Vice-Présidente du RCF Argenteuil : « Nous ne pouvons que saluer l’initiative de ce colloque et je trouve que le titre  « les Semeuses de la République » est particulièrement bien choisi. Les intervenants étaient de qualité. A titre personnel j’ai appris énormément de choses. On voit qu’il y a encore beaucoup de travail mais que le processus est amorcé. Nous y contribuons au sein des clubs. Chez nous, par exemple, nous avons pris la décision de faire la licence gratuite pour les féminines. Parce qu’il ne faut pas que l’argent soit un frein à la pratique. Nous sommes un club très populaire. Et dans les familles lorsqu’il y a déjà un ou deux garçons qui veulent jouer au foot quand la fille derrière dit moi aussi j’aimerais jouer, les parents peuvent être tentés de dire que le foot c’est pour les garçons. »  Des initiatives comme celle-ci doivent se multiplier. Dans une période où les débats sont plébiscités nul doute que celui de samedi aura fait avancer la cause du football féminin.           

Des reports qui pourraient brouiller le jeu

La grande question de cette 15e journée du championnat de National 3 pourrait ne pas être sportive mais liée à l’état des terrains. Car compte tenu des conditions climatiques de cette semaine il n’est pas à exclure que certains matches ne puissent pas se disputer. Déjà, la semaine passée, le National 3 avait connu des reports en cascade avec simplement deux matches qui se sont déroulés. Dont celui du leader, Aubervilliers, qui s’est imposé (2-1) face au PFC. Un succès qui lui permet aujourd’hui de mettre la pression sur ses poursuivants en comptant en tête du classement quatre points d’avance sur son dauphin des Gobelins avec évidemment un match en plus. Mais ce qui est pris ne sera plus à prendre.

Et dans un contexte similaire, le Racing, qui a pu jouer également sa rencontre, n’a pas saisi sa chance en concédant le match nul sur sa pelouse (2-2) face au Mée. Les joueurs d’Emmanuel Tregoat sont aujourd’hui relégués à cinq points du leader avec, cette fois, le même nombre de matches disputés. Aubervilliers devrait, ce dimanche, se déplacer sur la pelouse de Créteil pour peut-être encore enfoncer le clou. Mais la formation des Gobelins, qui a donc désormais un match en retard, ne l’entend pas de cette oreille. Les Parisiens restent sur une superbe série de quatre victoires et d’un match nul. Et ils doivent se rendre, ce samedi, sur la pelouse de la lanterne rouge, Meaux. Des Meldois qui ne se sont imposés qu’à deux reprises mais à chaque fois sur leur terrain.

Le Racing, actuel troisième, n’a plus de temps à perdre s’il veut encore prétendre jouer cette première place. Mais les Colombiens auront un déplacement délicat à effectuer sur la pelouse de Noisy-le-Sec toujours solide à domicile. Des Noiséens à la relance après leur dernière défaite concédée aux Mureaux. La formation des Mureaux qui est l’équipe en forme du moment. A la lutte pour son maintien la formation yvelinoise a enchaîné avec quatre succès de rang qui lui ont permis de se retrouver aujourd’hui à une belle sixième place. Et elle peut voir encore plus haut à condition de s’imposer face à une équipe de Versailles qui suit une trajectoire opposée puisque les joueurs de Youssef Chibhi n’ont plus connu la victoire depuis le 10 novembre dernier.

Le PFC a laissé passer, lors de ses deux derniers matches face à Aubervilliers et le Racing des concurrents directs, l’opportunité de viser plus haut. Les Parisiens, toujours quatrièmes, chercheront à retrouver le chemin du succès sur le terrain de Brétigny dominé par les Gobelins lors de son dernier match. Dans le bas du classement, si elle peut se jouer, la rencontre entre le Mée et les Ulis aura son importance. Encore plus pour les Méens de Philippe Tettamanti, aujourd’hui avant-dernier, malgré un match de plus au compteur. Mais les motifs d’espoir sont nombreux. Les Méens sont au contact et surtout si comptablement le match nul face au Racing ne les ont pas fait beaucoup avancer, il s’agit plutôt d’un bon résultat. La dernière rencontre mettra aux prises le Blanc-Mesnil, qui n’a pas abandonné toute ambition, à Ivry qui peine  toujours à stabiliser ses résultats.    


Agenda

Samedi 02 février à 17h
Noisy-le-Sec / Racing

Samedi 02 février à 18h
Blanc-Mesnil / Ivry
Meaux / Gobelins

Dimanche 03 février à 14h30
Brétigny / PFC

Dimanche 03 février à 15h
Créteil / Aubervilliers
Les Mureaux / Versailles
Le Mée / Les Ulis

 

Ébouriffant !

Le championnat de Régional 1 Futsal nous promet un dénouement à suspense dans toutes les parties du tableau. 

En haut d’abord où aucune équipe n’a vraiment pris le leadership pour les deux premières places synonyme de barrage d’accession. 

Pour le moment Lieusaint tient bien la corde depuis plusieurs journées. Les Seine-et-Marnais, malgré un faux-pas à Aubervilliers, ont montré toute leur solidité. Et il faudra l’être face à une formation des Artistes imprévisible qui a tenu en échec Créteil la semaine dernière. 

Pierrefitte n’est qu’à un point du leader et les joueurs de Seine-Saint-Denis auront le double avantage de recevoir la lanterne rouge, Paris Métropole. Le match qui semble le plus abordable pour les trois équipes de tête puisque Créteil se rendra à New Team, une formation dangereuse pas totalement hors du coup pour les barrages.

Derrière ce trio, Futsal Paulista peut demeurer ambitieux à condition de ne pas se rater sur le parquet d’une formation de Diamant qui alterne méthodiquement victoire et défaite depuis quatre matches. Les Essonniens se sont inclinés lors de leur dernière rencontre. 

Rien n’est joué non plus dans le bas du classement. Longtemps dernier, Champs, est sorti de la zone de relégation et pourrait prendre encore plus ses aises en s’imposant face au Sporting qui partage désormais cette dernière place avec Paris Métropole. 

Garges Djibson et Aubervilliers auront l’occasion, s’il y a un vainqueur, de prendre également leurs distances.  


Agenda :

Samedi 02 février à 13h30 :
Garges Djibson – Aubervilliers

Samedi 02 février à 16h :
Pierrefitte – Paris Métropole
New Team – Créteil

Samedi 02 février à 18h :
Artistes – Lieusaint
Diamant – Futsal Paulista

Samedi 02 février à 19h :
Champs – Sporting

Du changement à attendre ?

Rien de moins sûr que les matches de Régional 1 Féminines puissent se disputer ce week-end compte tenu des conditions climatiques. 

Si cela jouait le leader, Vaux-le-Pénil La Rochette, recevrait une formation de l’ES 16e qui s’est imposée lors de ses deux dernières rencontres de championnat. 

Derrière les Seine-et-Marnaises, qui disposent d’un très confortable matelas de sept points, la lutte promet d’être âpre pour la deuxième place synonyme de barrage d’accession. Trois formations semblent devoir se la disputer. 

D’abord, le surprenant promu du CA Paris, qui se rendra sur la pelouse d’une VGA Saint-Maur à la bagarre pour son maintien. 

Une autre formation parisienne, le PUC, peut également être ambitieuse avant de se déplacer à Rueil-Malmaison. 

Ces deux formations pourraient prendre un peu d’avance sur le troisième comparse, le Val-d’Europe, qui ne jouera pas, quoi qu’il arrive, ce week-end. 

Enfin Fleury, désormais décroché, accueillera une formation de la JA Drancy qui a su se donner une bonne marge sur la zone de relégation en remportant ses deux dernières rencontres.  


Agenda : 

Samedi 02 février à 16h30 :
VGA Saint-Maur – CA Paris

Samedi 02 février à 17h30 :
PFC – Cosmo Taverny
Vaux-le-Pénil La Rochette – ES 16e
Rueil-Malmaison – PUC

Samedi 02 février à 18h :
Fleury – JA Drancy

Si le temps le permet

Jouera, jouera pas ? Le contenu de la 13e journée de Régional 1 sera bien évidemment soumis à la praticabilité des terrains après les intempéries de la semaine.  Voici donc les affiches susceptibles de se disputer ce week-end. 

Dans le groupe A, le match de haut de tableau mettra aux prises Saint-Denis, deuxième, à Saint-Ouen l’Aumône, quatrième. Quatre points séparent ces deux équipes. Saint-Denis reste sur une série d’une victoire, d’un nul et d’une défaite. Les Val-d’Oisiens, pour leur part, viennent d’enchaîner trois matches nuls consécutifs. 

Le leader, le PSG, se rendra sur la pelouse de la Garenne-Colombes. Un match sur le papier déséquilibré même si la Garenne-Colombes relève la tête après une victoire contre Conflans et un nul face au Plessis-Robinson. 

Saint-Leu pourrait profiter de sa rencontre face contre Vincennes, à la lutte pour son maintien, pour se rapprocher de la première place. 

Le Plessis-Robinson, en plein manque de résultats, tentera de retrouver le goût du succès sur la pelouse d’un adversaire, Cergy, qui, après trois victoires de suite, a concédé le nul lors de sa dernière rencontre face à Conflans. 

Conflans, dixième à la limite de la relégation, aura besoin de prendre des points contre Chatou qui n’a pas repris 2019 comme il avait fini 2018. 

Enfin, la lanterne rouge, le Maccabi Paris UJA, toujours à la recherche de son premier succès, recevra une équipe de Saint-Brice qui se distingue toujours par son irrégularité.


Avec leur épopée en Coupe de France cela fait un mois et demi que Noisy-le-Grand n’a pas disputé la moindre rencontre de championnat. Sans jouer, les Noiséens ont conservé la tête du classement. Ils devraient se déplacer sur le terrain de Torcy qui a connu son premier gros raté lors de la dernière journée face à Sénart. 

Linas-Montlhéry, deuxième, n’a pas plus joué que Noisy en championnat durant cette période. Pour leur reprise les Essonniens pourraient accueillir Montreuil. 

Sénart-Moissy, avec deux matches en plus joués, s’est bien replacé à la troisième place grâce à deux succès de rang. Les Seine-et-Marnais tenteront la passe de trois sur le terrain de Fleury qui compte le même nombre de point mais pas tout à fait la même dynamique. 

Viry, l’autre héros de la Coupe de France, s’est bien remis dans le championnat en s’imposant aux Lilas. Confirmera-t-il contre le Val-d’Europe qui partage la dernière place du classement avec Melun ? 

Melun qui se rendra à Sucy, pas au mieux non plus, que les Seine-et-Marnais pourraient dépasser à la faveur d’une victoire. 

Enfin, Rungis recevra une formation des Lilas qui ne s’est plus imposée depuis le 3 novembre.    


Agenda

Groupe A

Samedi 2 février à 15h :
Garenne-Colombes – PSG

Samedi 2 février à 18h :
Saint-Leu – Vincennes
Saint-Denis – Saint-Ouen l’Aumône

Samedi 2 février à 20h :
Maccabi Paris UJA – Saint-Brice

Dimanche 3 février à 15h :
Chatou – Conflans
Cergy – Plessis-Robinson

 

Groupe B

Samedi 2 février à 18h :
Linas-Montlhéry – Montreuil
Torcy – Noisy-le-Grand

Dimanche 3 février à 15h :
Val-d’Europe – Viry
Fleury – Sénart-Moissy
Sucy – Melun
Rungis – Les Lilas

Une journée tronquée

Deux rencontres sont déjà officiellement remises pour cette 14e journée de championnat Régional 1 Foot Entreprise. Celles opposant la Banque de France à Expograph Vanves et l’APSAP Roux au Conseil Général du 92. 

D’autres pourraient suivre mais en attendant le programme est attrayant avec un duel entre Nike et Orange Issy. Les deux équipes ont longtemps été rivales sur le plan régional et national avec une domination, ces dernières années, de Nike. Les choses sont différentes cette saison. Orange Issy retrouve des couleurs tandis que Nike est désormais très loin de ses standards. Mais l’équipe de Saint-Ouen l’Aumône reste dangereuse et les Isséens n’ont pas intérêt à se faire piéger s’ils ne veulent pas laisser le leader s’échapper. 

En effet Best Training compte déjà trois points d’avance sur Orange et les joueurs de Chambourcy devraient se rendre sur la pelouse de la lanterne rouge, le CHI Poissy, dans le match des extrêmes. 

Métro, qui vient de prendre une grande claque à domicile (0-6) par Best Training, essaiera de se remettre les idées en place face aux Communaux de Maisons-Alfort.

Aéroport CDG et Skill, plus que jamais concernés par la lutte pour leur maintien, seraient bien inspirés de l’emporter. 


Agenda : 

Samedi 2 février à 15h :
CHI Poissy – Best Training
Nike – Orange Issy 
Aéroport CDG – Skill
Métro – Communaux Maisons-Alfort

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